Pain frais, croustillant, doré… rien que d’y penser, on en salive ! Pourtant, derrière ce plaisir tout simple se cache une réalité moins connue : pour certaines personnes, le pain pourrait ne pas être l’allié idéal. Et si votre petit plaisir quotidien n’était pas aussi inoffensif que vous le pensiez ? On vous dit tout, sans dramatiser, mais avec nuance !
Le pain, un classique aux multiples atouts
Commençons par rendre hommage à ce compagnon de nos petits-déjeuners, tartines du goûter et sandwiches de midi. Source précieuse de glucides, le pain fournit à notre corps l’énergie dont il a besoin pour bien fonctionner. Il contient aussi du calcium (eh oui, quatre tranches apportent déjà environ 164 mg sur les 800 mg recommandés !), ce qui en fait un coup de pouce discret pour nos os.
Et soyons honnêtes : qui n’a jamais cédé à un bon bout de pain par manque de temps ? Pratique, rassasiant, il est souvent l’option facile les jours de course. Mais justement… facile ne veut pas toujours dire adapté à tous.
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Quand la digestion fait grise mine
Vous avez le ventre qui gonfle, une sensation de lourdeur après les repas, ou vous êtes régulièrement constipé(e) ? Le pain, surtout blanc, peut ne pas être votre meilleur allié. En cause : sa teneur en gluten, parfois difficile à digérer pour les systèmes sensibles, notamment chez les enfants ou les seniors. Si votre transit vous joue des tours, mieux vaut varier les plaisirs avec d’autres sources de glucides plus légères, comme le riz complet ou les légumes-racines.
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Si votre cœur ou votre glycémie réclame de la douceur
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