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Témoignages | Les effets secondaires graves du vaccin contre le Covid-19

De nombreux soignants suspendus pour avoir refusé la vaccination ont tenu à témoigner, à l’image d’Audrey, infirmière, ou Sandrine, kiné. Tous confirment la fréquence inhabituelle d’effets secondaires graves, y compris chez les jeunes. Sandrine raconte son engagement aux côtés de Marc Boyer : « Quand il a compris que nous étions suspendus pour refus de participation à une expérimentation, il est resté sans voix. Il m’a dit : ‘Personne ne nous avait prévenus’. »

Le Dr Denis Agret, médecin urgentiste, évoque quant à lui plusieurs cas de décès de jeunes personnes après vaccination : Sofia, 17 ans, décédée d’une embolie pulmonaire quelques jours après une injection ; Mélanie, 15 ans, morte d’une myocardite quelques jours après une dose de Pfizer. Il évoque aussi les cas d’allergies fulgurantes ou de thromboses multiples. « Ces effets sont graves, et ils existent. Mais les instances sanitaires inversent la charge de la preuve. Ce n’est pas à la victime de prouver le lien, mais au fabricant de démontrer l’innocuité. »

Un silence organisé ?

Le fil rouge de tous ces récits est le même : l’isolement. Aucune reconnaissance, aucun accompagnement, aucun suivi. José, hospitalisé à deux reprises après une thrombose intestinale post-vaccination, raconte que ni l’hôpital ni la pharmacovigilance n’ont pris position. « On m’a dit de faire un test antigénique pour avoir mon pass sanitaire. Mais aucun médecin ne m’a dit quoi faire, personne ne m’a aidé. »

Une auditrice, infirmière, affirme que de nombreux professionnels de santé sont dans l’incapacité de déclarer des effets secondaires, faute de temps, de soutien, ou par peur de sanctions. Un médecin lui aurait confié : « On nous interdit de le dire. »

Face à cette accumulation, le Dr Henrion-Caude résume : « Les bases de données officielles recensent déjà les troubles cardiaques, neurologiques, auto-immuns, rénaux. Les autorités le savent. La question est : pourquoi ne le dit-on pas aux gens ? Pourquoi injecte-t-on encore des jeunes, alors même que le bénéfice n’est pas démontré ? »

L’émission se termine sans appel à la peur, sans slogans. Seulement une exigence : celle de la vérité, de la reconnaissance, et du droit à l’information.

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