Quand un être cher nous quitte, son absence laisse un vide profond… mais aussi des objets, des vêtements, des photos, autant de rappels tangibles d’une vie partagée. On hésite : faut-il tout garder pour ne rien oublier ? Ou est-ce au contraire un frein à notre guérison ? Ce dilemme, intime et universel, mérite qu’on s’y attarde avec bienveillance…
Pourquoi garder tout peut parfois freiner le deuil
Derrière chaque objet se cache une histoire, une émotion, un éclat de rire ou une larme. Et c’est ce qui rend le tri si difficile. Le pull préféré, le livre préféré, le parfum encore imprégné… Ces reliques deviennent parfois des compagnons de solitude, nous ramenant sans cesse à l’absence, au manque.
Mais quand le passé s’invite trop souvent dans le présent, il peut peser lourd. À force de s’entourer d’objets du passé, on risque de s’enfermer dans une forme de nostalgie permanente. Et si, au lieu de consoler, ces souvenirs devenaient une entrave à notre sérénité ?
Continuer la recette à la page suivante
ADVERTISEMENT
Pages : 1 2
ADVERTISEMENT